Un soupir une fleur abstraite,
L’oreille reçoit les bouquets et les plaintes
Les cercles s’emmêlent
Joies et peines, sans choix du cavalier
Un soupir, parle pour le granit,
Ce taiseux, cet immuable silencieux
Enterré, qui vibre pour chaque chute, pour chaque saut,
Il retient la joie même sourd à la musique.
Une tempête en ma direction. Sèche, qui appelle l’eau.
Dénaturée, servant la douceur.
Elle part diluer la mer.
Loin et attendue, proche et menaçante.
10/09/2022