Elles frétillent, suivant tes yeux,
Elles se closent pour un sommeil amoureux
C’est le désordre, elles clignent et hésitent entre un regard nouveau et un songe refait.
Triste réalité, mouvement intérieur.
La vie va et vient à travers les parois ravissantes de ton âme, et le destin de ton regard ne tient que sur ces fines cloisons. Tes paupières chasseresses se moquent.
Mais referme les,
Tu étais mieux les paupière closes.
Je pouvais m’occuper de tes cheveux.
11/03/2017
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