Je n’ai pas envie d’écrire sur l’écriture, ça n’a aucun sens. Les pastels de la vie colorent le ciel, et les ruptures de tons et d’intensité font écho aux événements rouges et aux faits gris. Rien ne galope comme le bleu par les nuages, nuage annonciateur de gouttes, bleu messager de la distance. Le vert des prairies n’a jamais été aussi proche de la terre. Et la narration de pas foulés dans l’herbe n’est qu’une marche, une brassée vers une histoire plus fantasque.
Le rose que porte cette robe d’enfant est déjà dans la nature, il vêt les fleurs d’éclosions diverses. Halte.
Le soleil se couche.
Il provoque la levée d’un brun de poussière.
L’humain qui est là pour être force de la nature appelle à lui le sucre contenu dans le jaune.
Il prend forme. Le miel prend forme, il est drôle. L’enfant détale et arrive à l’humain pour lui demander pourquoi ?
C’est comme un élastique les couleurs, on tire fort dessus et elles ne déçoivent pas. C’est comme la différence entre un homme et une femme la couleur, ça se mélange dans tous les tons.
01/12/2016
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