Ce creux

Qui accueille le temps, cet air qui travaille mes poumons. La recherche hagarde d’un trait, d’un visage ou de gens m’occupe. Je m’affole d’en trouver autant. Eux m’ont ils trouvée ? Cette vague déferle. C’est ma tristesse qui l’envoie ; le message inonde mes cheveux. Je boirais bien la mer. Un point. Un tout petit point, sautille sur mes pieds. Mon chat a des puces je crois. Enfin, la lumière et sa vitesse. Elle traverse assez facilement l’humidité bleue. La beauté finalement.

01/01/2018

Laisser un commentaire