Je fixe le pastel qui fixe les mouvements du personnage qui me fixe.

L’électricité cherche un chemin parmi mes neurones.
Un éclair relie mes tempes.
Je ferai et ça et tout.

Flash.
Une ampoule s’allume, deux ampoules, elles grésillent.
Des photos son prises, trois puis quatre. Les photos mangent le temps, le dévorent, lui donnent du noir à broyer, l’envoient paître et définissent le cadre de ce qui reste.

Illumination.
Un soupir, je me reprends, ça me reprend.
Nouvelle idée. Autre image.
Une peinture.
Parfaite de consolation.

Stop.
L’eau est un poison à qui dessine le temps.

28/02/2018