Dormir, surtout. Que la moiteur s’engouffre dans ma conscience. Je ris de ma vie quand je dors, je me moque de ton refus quand je dors, je descend l’échelle irraisonnée et je finis toute nue, dans mon lit, à me réveiller encore et encore.
M’habiller, surtout. Dans tous les sens de l’appartement. L’accessoire de la pensée : le miroir qui dit non à tout. Pour que tu puisse après dire oui à tout. Vitesse, rapidité, exécution, et voilà je suis prête en cinq minutes.
Travailler, pourquoi pas. Il faut de l’argent pour manger et boire, pour dormir et s’habiller. Et tout cela empêche le temps de couler, il est trop occupé.
18/09/2016
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