L’orage chatoie les cheveux et ta douceur éparpille mes habits.
La pluie cherche ma peau que tes mains cachent ; le ciel étincelle dune jalousie que la terre reçoit.
La mer se balance. Et tandis que les algues se laissent faire elle noie le souffle tout doux qu’un soupir impose.
Mon corps te rend la pareille.
Comme la nature est tranchante quand il s’agit d’esquinter un silence.
21/08/2016
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