yep

  • Salut

    Un jour futur
    Je te dis

    Ce n’est pas ta main,
    qui joue avec les mots.

    Je me permets

    ni tes yeux
    qui sont occupés à être des yeux

    Je suis si sérieuse, je m’emballe

    Ce n’est pas ton âme,
    qui me semble être drôle et folle.

    C’est plutôt mon regard, qui t’a reconnu
    Ou alors ma main, qui a touché ta peau

    Et puis mon être prêt à se moquer

    moi toute entière.

    16/05/2016

    
    
    
  • L’âge d’or

    / Un souffle - l'un contre l'autre
    / inspiration - un nouveau geste 
    / expiration - des appuis sur la peau 
    / imitation d'un film disparu 
    / pause 
    / replay 
    
    28/03/2016
    
    
    
  • Une bouteille dans le sable

    Nostalgie
    Je vais faire les courses
    et toi le ménage
    Soupir
    Je songerai à t’aimer et toi à me désirer
    Espérance
    Tu sauras que j’étais folle et je saurai la même chose

    20/03/2016

    
    
    
  • Échec de la drague

    Autre
    Cet autre celui-là qui me plaît est-il donc venu pour me voir et me vaincre ? .
    Sorti des ténèbres comme l’autre Charmant
    Combattant les hyènes les chacals

    J’arrête
    J’arrête d’écrire des poèmes des poèmes d’amour.
    J’arrête de m’imaginer des scènes des scènes d’amour.
    J’arrête de penser à toi à toi cher amooouuur.
    Je vais me mettre à pleurer à chialer des larmes d’amour.
    Je rends les armes les armes de l’amour :
    J’arrête les œillades indiscrètes, les réflexions insensées, les mouvements pas très mécaniques
    Merde

    Merde
    Je me suis plantée de cible/j’aurai dû faire choisir mon père/demander conseil à ma mère

    Merde

    J’pige pu rien

    Merde

    11/03/2015

    
    
    
  • Des médocs et des maladies

    Qu’ils sont drôles qu’ils sont marrants

    Multicolores et rigolos

    Cherche la boîte, la boîte vide, les petits farceurs.

    Un peu plus un peu moins je vous mets dans ma salade dans mon sommeil

    Je vais tous vous bouffer, sans gêne et sans pudeur

    Les effets indésirables, joyeuse trouvaille

    Et les tourbillons non assumés ; mal-aimés ;

    Comme le temps disparu d’une histoire gaie

    cOmme l’étrange essai de l’appétit sans lendemain

    coMme la nudité de la folie

    comMe le mensonge de triste foi

    commE et comme tout le reste

    -ont-ils existé ?

    La peste soignée le choléra guéri

    10/03/2015

    
    
    
  • Un pigeon dans le mistral

    Pour faire vivre ta richesse intérieure,
    Tu as envoyé une lettre.

    Pour cultiver ton orgueil de romantique,
    Tu as attachée la lettre au pied d’un pigeon.

    Il s’en est allé, n’est jamais revenu.

    29/10/2015

    
    
    
  • Ambigu

    Ce sourire de mal-être

    est-il raisonnable ?

    Sois donc plus sage

    pleure quand tu es triste.

    31/07/2015

    
    
    
  • Enfermée

    Dans cette aura mystérieuse
    Belle par le regard acharné porté sur elle.
    Intemporelle par la vision que j’ai d’Elle. L’actrice.
    virevolte joue vrai
    fait ressentir et impulse
    à l’image mouvante un nouveau sens.

    31/07/2015

    
    
    
  • Je suis bavarde. et mal-adaptée

    Et décousue. Il me faut cette machine à coudre pour reprendre ma parole et ce tissus. Cette chaussure aussi peut être reprise, pour retenir le flot d’eau externe. Sans purger le flot de mots internes, car je parle. Je parle de moi de mon enfance, de mon père et de ma mère mais je ne parle pas de moi.

    Quand je parle je cherche quelque chose à dire et un peu de compagnie, fut-elle mauvaise.

    Peut-être que tu aimerais parler toi aussi ? Sais-tu alors, qu’hier je me suis rendue compte que j’avais envie de te revoir. Je ne sais pas d’où cela m’est venu. Mais soyons clairs, je ne veux pas me mettre avec toi.

    Je laisse un temps. Cela est presque un silence alors je reprends :
    « J’aimerais voyager, j’aimerais me sentir seule, mais je ne sais pas où aller… ».
    En continu :
    « Que se passe-t-il ? Pourquoi cette tristesse ?  » dis-je. Je vois qu’il est triste.

    Il ne dit rien. Je ne sais pas comment le consoler. Je ne parle pas assez. Je ne sais pas parler.

    31/07/2015

    
    
    
  • Rame

    Vis tes rêves ; rêve ta vie. On avance mieux ainsi.

    31/07/2015

    
    
    
  • La continuité

    Prendre un être. Le faire naître.

    Faire aléatoirement ta liste de choses.

    Les défaire.

    Suivre. ta. pensée.

    Et puis ponctuer,

    31/07/2015

    
    
    
  • J’ai hâte

    Noyade dans le jaune, le jaune du sable et du soleil.

    Prélassement dans le bleu, du ciel et de la mer.

    Tourbillons dans les glaces à l’italienne.

    Sourires parlés de la langue…Je suis sous l’emprise.

    Il fait beau à Presicce.

    13/07/2015

    
    
    
  • Mélange

    Tout ce rose n’est-il de trop ? Cette parure, ce brillant à lèvre, jurent, je le trouve, avec le bleu du ciel. Et en passant, ces couleurs de mon enfance auraient déjà dû s’en aller…

    Il est dit qu’un retour vers le passé est un signe de faiblesse. Il est dit qu’une stagnation dans le présent, sans rien faire, rapetisse la personne. Alors, projetons-nous !

    Dans le pays de l’imaginaire, du travail ou de l’argent facile, de la famille construite ou de celle rêvée. Projetons-nous vers la terre du bien-être, qu’elle soit d’origine ou contrefaite. Détruisons… Ce qui nous lie et nous retient, abandonnons-nous au plaisir au plaisir au vice et au plaisir. Construisons des cabanes de déboires des lits de regrets dans le passé dans le présent dans le futur. Ne t’abstiens pas.

    Tu ne reconnais plus rien. Tu as vieillis. Tout devient violet.

    02/07/2015

    
    
    
  • Pour ma paresse

    Poursuis moi toujours, tous les jours, je t’ai si bien aimée.

    Ne me perds pas,

    Je ne supporte pas l’activité

    et J’ai si peur de la chose accomplie,

    Bien plus que du temps qui passe qui troue les orbites,

    des cheveux qui blanchissent.

    Pour ma paresse,

    J’en grillerai de l’encens, en forme de cigarette

    Les poches de la vie pleine de vide je reste

    Le trottoir toujours du même côté je reste

    Tu ne crois pas que je vais zigzaguer mon être ?

    Pour ma paresse

    La vie en jachère la chambre en bordel

    ainsi, je garderai tout du vide qui m’entoure

    09/05/2015

    
    
    
  • A la lassitude

    Qui traîne qui colle

    A la lassitude ma bonne amie

    Tu me donnes plein d’idées de choses,

    A faire

    02/05/2015

    
    
    
  • A la lassitude

    Qui traîne qui colle

    A la lassitude ma bonne amie

    Tu me donnes plein d’idées de choses,

    A faire

    02/05/2015

    
    
    
  • Trahison

    Ma tête va exploser, mon corps se disloquer dans l’infini de la mer, se désintégrer dans tout le possible du bleu, tout va disparaître et je ne m’en rendrai pas compte.
    En parcourant l’absurde traversée de mon âme, en me battant contre la beauté jouissive et assouvie des rêves je me souviens de toi.
    Je te dénigre à présent mon amour, je t’éconduis cher ami.
    La vie est comme ça.

    Que pouvons nous y faire, d’avoir su nous aimer un jour et un autre encore.
    Cherche donc l’impossible de l’éternité et tu ne trouveras que le cambouis de la chute des anges.

    Mon corps te réclame, ma vie ne cherche que tes yeux et je sais que tu vas me cracher dessus. Je t’ai trop vécu. On est usés et vieux maintenant.

    29/04/2015

    
    
    
  • Un Clavier pour te perdre

    Je dois écrire pour savoir si le clavier marche, écrire dans relâche en utilisant toutes les lettres de l’alphabet pour savoir si ce bidule est en état de fonctionner. Je me dois de l’entraîner dans la capacité d’endurcissement, d’endurance en fait, de non essoufflement pour tout dire. Je dois parvenir par tous les moyens à larguer le lecteur. J’y suis parvenue j’en suis sûre.

    29/04/2015

    
    
    
  • Racolage

    Je n’ai pas envie de faire de belles phrases

    Pas envie que tu me comprennes

    Je ne veux pas que tu me découvres

    Un cahier de mots à poil.

    Je t’interdis de lire mon intimité

    Tout cela n’a pas de sens

    racolage.

    23/04/2015

    
    
    
  • Grandir

    Tu te fais des châteaux dans la tête.

    Ils grandissent, se construisent, déplacent leurs murs.

    Tu te fais des paysages dans le cerveau, magnifiquement beaux, infaillibles, et on y voit que du sable.

    Par quel moyen, petite fille deviendras tu grande fille ? Avec tous ces châteaux et paysages là-haut. Tout ce sang en bas.

    Comme si l’interface de la réalité allait se joindre à toi pour te conforter -ou te détruire.

    23/04/2015

    
    
    
  • petite douceur

    Tendre abrupte et rocailleuse

    la lune qui n’a jamais de souffle ne réveille aucune âme.

    Lisse cassée et disparue

    la lune immobile s’est faite avoir.

    22/04/2015

    
    
    
  • entends tu

    Ce silence

    absence de mots et d’amitié

    Disparus ?

    Qu’ en sais-je ? Silence punché.

    Je n’arrive pas à te revoir.

    Ça me fait mal à mon espoir.

    19/04/2015

    
    
    
  • À l’éphémère

    De ce cri de corbeau

    De cette fleur qui fane et plane

    Que flâne-tu ?

    16/04/2015

    
    
    
  • Ecrire un poème pour qu’il soit long

    Pour que le poème soit plein d’enjambées de phrases.

    Qu’il soit torturé et qu’on n’y puisse rien comprendre

    Avec des mots que tu haches, des phrases que tu saccades.

    Écrire un poème pour qu’il ne soit pas trop long

    pour qu’on le lise jusqu’au bout

    16/04/2015

    
    
    
  • Pour plaire

    Je serai sans papier, petite fraudeuse.

    Je me la jouerai par dessus les murs, en avant des trains.

    La lassitude cette garce ne m’aura JAMAIS.

    Tout ce que je n’ai pas été,

    tendue par un string, j’alpaguerai ce qui passe avec le plus haut dédain.

    Détendue pour un stress, je finirai détenue.

    16/04/2015

    
    
    
  • why is my head so empty ?

    A golden fish just keeps making circles and forgetting there was nothing the last round …. But I have just the solution : there are two of us

    
    
    
  • Lumière du soir

    que fléchit pour faire naître le jour ailleurs

    quelle félicité dans le regard d’autres amants

    qui s’endorment au petit matin sans mot dire

    Que la nuit a travaillés corps et âme pour qu’ils en soient éperdus

    Lumière du soir, ma seule compagne, me balisera tu la route de la fortune.


    Soir du matin

    Je t’ai attendu toute la triste vie

    Tu viens me faucher dans cet ignoble pyjama, mieux tu aurais pu faire

    Matin du soir tout de même tu ne préviens pas

    Fauche petite

    15/04/2015

    
    
    
  • Mon désespoir

    Parce que je ne peux jamais t’aimer comme au début.

    début il n’y a pas

    Nous serons mangeant des plats gastronomiques sans se parler

    Et je t’aimerai jusqu’à je ne sais quelle fin.

    (il y aura une fin)

    Tout ça je le sais, et toi aussi ?

    Jamais je n’ai été capable de bien aimer

    Jamais je tu sommes fait pour l’autre

    Donne moi tes raisons, toi qui maintenant est désespéré comme moi

    Donne les moi par la main

    14/04/2015

    
    
    
  • moitié finie

    14/04/2015

    
    
    
  • tissues and handkechieves

    
    
    
  • Jalousie

    Les journées sans toi

    Passent

    Et à toi les journées ne se

    Ressemblent

    Et le fleuve en mon sang infuse la tranquillité

    saignante


    Les remous que je connais chez toi

    Ton cœur

    11/04/2015

    
    
    
  • Déesse

    / mes histoires préférées
    Athéna dite minerve, admiration mienne qui fut. Déesse de l’inspiration tu n’es point.
    Orgueilleuse. Et jalouse.
    J’ai aimé que tu sois née guerrière. Que tu ne sois pas fichue être coquette,
    à un concours de beauté. On est toujours deuxième.
    Excès d’orgueil ? (la gagne est gagnée)
    Définition de l’orgueil ? (je te laisse la place poule Aphrodite Vénus)
    Pour raconter, tu tisses,
    Tu regardas ta voisine tisser.
    J’ai aimé que tu la transformes en araignée ; haute colère ! . Mauvais sortilège. Méchante fille.
    On ne te connaît point d’amant.
    Et puis quoi d’autre ?

    Conclue

    Beginning de la haute nuit, soft nuit,

    Entends donc mon coeur qui bat, bat, bat bat, bat. ,  ,    , , ,   , , ,, , ,  .

    26/03/2015

    
    
    
  • Fin

    1,
    Pour oui 2
    Pour non
    3 je ne sais pas 4
    La tristesse infinie
    5 ma main dans la tienne
    6 je t’apprendrai
    7 parfaire
    8 l’infini

    26/03/2015

    
    
    
  • Sophie ter : le lapin

    Chaque fée qui t’indique la seconde qui passe la seconde qui meurt n’est qu’une fée de passage.

    Tout ange qui t’indique le silence qui vit le silence qui passe est un ange de gloire. Gardez-le cet ange. Que le silence soit roi dans ce pays où tous les bruits sont bons s’il fait calme à l’intérieur.

    Je ne veux plus être triste. Je veux être comme mon frère ; la vie et la joie incarnées. Les rires aux éclats, les débordements sans complexes. Le tout à pleines dents.

    Et voilà j’ai pris un lapin, celui pressé d’Alice…, il va me soigner…plouf

    
    
    
  • Sophie bis : excès de sagesse (2009)

    Elle se promenait la tête baissée, comme à l’accoutumée, sans s’intéresser aux passants.
    Le jardin enflammé par les nuances de l’automne lui présenta ses plus beaux arbres. Le velours des couleurs qui planaient avant de retomber, l’humide parterre de feuilles qui jonchaient le sol, la nudité, enfin, des arbres auxquels il ne restait que des boules de gui, tout cela contribuait à la ronde hermétique et impénétrable de la tristesse environnante.
    Elle se promenait dans un parc qui tentait de la chatouiller par ses couleurs. Elle se promenait dans un parc orangé, dans un châle ocre. Tandis que les feuilles suivaient le vent le châle s’agrippait à son dos.
    Elle termina son tour, ne se sentait pas mieux, et pris une douche.

    « La douche de ce matin était froide, elle prend cette vilaine habitude. L’eau tombe, de haut en bas sans s’accrocher à mon corps. L’eau est chaude, la douche est froide. La température chute au contact de mon corps qui ne retient pas l’eau ni le souvenir de sa chaleur. La douche est inerte et mon corps bouge. L’inverse ne m’aurait pas étonnée. Je pourrais rester dans cette position-là, mais je dois faire mine d’avancer dans la vie. Comme cela m’est impossible. Je me livre et rien ne sort. Je m’accroche à mon cahier et rien ne sort. »

    Elle perdait son vocabulaire. Vocabulaire fragile, peu abondant, rêche de sa pauvreté, limité dans sa force. Qui ne guérira pas, qui ne fleurira pas. La douceur de son âme ne sortira plus de son être.
    Le souffle de l’ennui la menaçait. L’évocation intérieure d’une action la rebutait. Et l’élan vers un achèvement lui manquait tant il lui était difficile de ne pas se refermer.
    Marche donc, petite !
    Que faire de ce mal ? Impuissante qu’elle était, arbre sans fruit qui ne poussait plus. Aller au-delà d’un état maladif, embrasser la déchéance et l’espoir. Telle qu’elle était, telle qu’elle ne sera plus. La joue de l’infortune lui était tendue et elle avait été contrainte de la baiser. De ce rapprochement avec la tristesse, avec un malheur sournois, qu’allait-elle produire ?
    L’apogée de sa folie de jeune fille perdue, l’étouffement par l’absence de perspectives, l’abîme de la vie à venir ; le désastre avait le champ libre pour s’épanouir.
    Les feuilles mortes voilant la route, prenant le pas, collaient aux chaussures de Sophie. Elle marchait.
    Elle marchait

    
    
    
  • Non rencontre

    Mélancolie mon,

    Mélancolie mon coeur

    J’ai si peur

    d’être

    18/03/2015

    
    
    
  • Narcisse cracha dans l’eau

    Et ne tomba pas

    14/03/2015

    
    
    
  • Sophie

    « Je veux un livre joyeux, avec des fleurs et des couleurs. Les couleurs iraient sur les fleurs, s’y trouveraient bien et le livre serait joyeux. Vous aussi vous voulez un livre joyeux, avec ou sans virgule, mais avec des fleurs et des couleurs ; je crois qu’il va falloir que vous l’écriviez, parce que ce n’est pas moi qui vais y parvenir …», pensait Sophie, ruminait Sophie.

    Pleine d’une réalité vide, vidée de sa vie rêvée, elle divaguait, elle s’occupait. Le ailleurs de l’imaginaire la travaillait auparavant. Simplement, c’était devenu différent.

    Car il n’y avait plus rien à faire, plus rien à espérer et le moulin des chimères n’était plus le même.

    La lueur n’en finissait pas d’apparaître ; celle de l’aube, qui semblait hésiter à s’installer. A la regarder, on pouvait espérer rester dans l’espoir d’une vie à étoiles, d’une vie paisible. Ceci dit, certains auraient aimé voir la nuit à la place.

    14/03/2015

    
    
    
  • Mi ricordo

    Je vous ai si mal aimés,
    Une épine en mon cœur criait à l’imposture
    Du garçon qui ne savait lire, beau schizoninique
    Du garçon qui ne savait le français, mon petit cirrhotique
    Du garçon qui ne savait la délicatesse, cher Alfred
    Au jour d’aujourd’hui, s’il sait lire le français avec délicatesse,

    13/03/2015

    
    
    
  • Emballer

    Allez c’est gagné il m’a zyeuté m’a parlé m’a zyeuté n’a plus rien dit.
    Vite je me fais prescrire la pilule, il n’a plus qu’à trembler n’a plus qu’à toquer.
    Que c’est beau les sentiments, il suffit d’y croire de ne plus y croire de faire le sens inverse.
    Les sentiments ments-ments emballer c’est pesé

    13/03/2015